Dès le printemps prochain, le classement de l’offre hôtelière française s’adapte aux mutations du secteur. Il prendra en compte les critères de développement durable, de numérisation de certains services (check-in dématérialisé…) ainsi que les nouveaux usages comme le coworking et la mutualisation, entre deux hôtels proches, de services et d’équipements tels qu’une piscine, un spa ou un restaurant.